Dans
le cadre des activités du projet de Transfert Monétaire, en phase pilote dans
les régions de la Savane et de la Kara, un atelier de recyclage en vue de
l’actualisation de la liste des bénéficiaires et d’échange d’expériences s’est
déroulé du 04 au 06 novembre 2014 à Sokodé. Organisé à l’intention des acteurs
impliqués du Ministère chargé de l’Action Sociale notamment les responsables de
Zone (RZ), les Directeurs préfectoraux (DP), les Gestionnaires de base de
données (GBD), les Directeurs régionaux (DR), l’atelier a regroupé au total 43 participants
(08 femmes et 35 hommes) venus des régions de Savanes (Oti et Kpendjal) et de
la Kara (Doufelgou, Keran et Dankpen) dont la liste ci-jointe.
La
rencontre a été facilitée par la consultante de la Banque mondiale à ce
programme, Madame Gilberte KEDOTE. Elle a été appuyée par une équipe de la DGPE
composée de Madame DJANGUENANE Falaman épouse PENN et de Monsieur AGBONON Kodjo
Sivah.
En
dehors des cérémonies d’ouverture et de clôture, trois temps forts ont marqué
les travaux :
-
La collecte des
informations pour faire le point sur les difficultés rencontrées lors du
recensement, de la distribution des cartes aux bénéficiaires et le suivi des
premiers transferts ;
-
Le recyclage sur
les outils devant servir à l’actualisation des listes ;
-
La planification
des activités de formation des ACPE, l’actualisation des listes et les budgets
afférents.
I)
L’OUVERTURE DES TRAVAUX
Elle
a été marquée par deux interventions notamment celle du Directeur Régional de
l’Action Sociale des Savanes, Monsieur POUNPOUNI Koumai ainsi que celle de
Madame la consultante. Dans son mot d’ouverture, le DR a souhaité la bienvenue
aux participants et les a invité à une participation effective et active afin
d’atteindre les objectifs fixés pour ladite rencontre.
Pour
sa part madame la consultante au programme a abordé les sujets sur lesquels
doivent porter les travaux de l’atelier à savoir les partages d’expériences par
rapport au recensement, la distribution des cartes, le suivi des paiements de TM,
les difficultés rencontrées sans oublier l’actualisation proprement dite.
II)
POINT SUR LES DIFFICULTES RENCONTREES LORS DU
RECENSEMENT, DE LA DISTRIBUTION DES CARTES AUX BENEFICIAIRES ET LE SUIVI DES
PREMIERS TRANSFERTS
Abordant
les travaux proprement dits, la Consultante a rappelé tout d’abord, les
différentes étapes du projet et a ensuite demandé aux participants de se
repartir en 05 groupes selon les préfectures pour relever au niveau de chaque
phase les problèmes rencontrés et la manière dont ils ont trouvé des solutions puis
de présenter une liste des points à discuter en plénière.
Cette intervention a conduit les participants
dans leurs groupes respectifs pour réflexion.
La
plénière a commencé par les
présentations des travaux des préfectures de Kpendjal et de Doufelgou qui ont
retenues l’attention de l’assistance jusqu’à la pause déjeuner. Les trois
autres préfectures restantes ont passé leurs exposés à la reprise. Le contenu
de chaque présentation a tourné autour des activités, des problèmes et les
approches de solutions des phases de recensement, de distribution de cartes et
de suivi de payements.
·
PHASE DE
RECENSEMENT
-
Insuffisances de
registres ;
-
Fiches mal agrafées ;
-
Mauvaises
collaboration entre ACPE et ASC ;
-
Indisponibilités
de certains ACPE et ASC ;
-
Mauvaise prise du
Périmètre Branchial (PB);
-
Refus de certains
bénéficiaires de se faire recenser ;
-
Manque de moyens
logistique,
-
Habitats
dispersés ;
-
Accès difficile
des villages.
·
Distribution des cartes
-
Non implication
des acteurs de l’Action Sociale lors des prises de photos ;
-
Erreurs de numéros
d’identifiants ;
-
Bénéficiaires
n’ayant pas leurs noms sur la liste ;
-
Cartes des ACPE
ne sont pas confectionnées ;
-
Non implication
des RZ lors des prises de photos ;
-
Cartes sans verso ;
-
Noms mal écrits ;
-
Pas de cartes de certains
bénéficiaires dont on a pris des photos.
·
SUIVI
DES PAYEMENTS
-
Milieux enclavés
-
Non intéressement
des ACPE
Au
vue de ces présentations, beaucoup de problèmes ont trouvé leurs solutions à la base avec l’aide des
ACPE, chefs de villages, CVD et RZ. Retenons de façon générale que ces
présentations ont été sanctionnées par des discussions très intéressantes qui ont
relevé des inquiétudes d’une part et ont apporté des approches de solutions
d’autre part. Des points saillants ci-dessous ont retenu l’attention des
participants :
-
Le circuit de
l’information n’est pas correct, il mérite d’être revu ;
-
Non concordance
des listes validées aux listes des états et listes des photographes ;
-
Liste validées ne
sont pas prises en compte par les bases de données ;
-
L’ACPE ne dispose
pas de copie de l’état de paiement dont il est signataire ;
-
Prise de photo
aux non bénéficiaires en remplacement des bénéficiaires absents ;
-
Non-conformité
des listes des bénéficiaires aux listes validées ;
-
Séparer l’état des
retardataires aux listes générales ;
-
Manque de rencontre d’échange entre tous les
acteurs impliqués ;
-
Manque de
motivation aux chefs de village ;
-
ACPE dont les photos
ne sont pas prises dans quelques préfectures ;
-
Déplacement des
bénéficiaires sur les nouveaux sites pour le TM.
Les
discussions par rapport au recensement des vrais et faux jumeaux ont confirmé
que ces cas n’ont pas été enregistrés au cours de cette opération. C’est sur
ces débats que les travaux de la première journée ont pris fin.
III)
RECYCLAGE SUR LES OUTILS DEVANT SERVIR A
L’ACTUALISATION DES LISTES
Les
travaux de la 2e journée ont
débuté comme prévu à 8h 00 par la présentation du rapport des travaux du 1er
jour suivi des amendements apportés par
les participants. Après cette brève étape la consultante a présenté le
programme de la journée qui se résumait essentiellement aux recyclages sur
l’étape de l’actualisation.
A
ce sujet, l’ensemble des participants a rappelé les raisons pour lesquelles
l’on doit procéder à l’actualisation qui consiste à enregistrer les nouvelles
entrées et sorties. Pour ce faire, des discussions ont été menées sur des cas
particuliers qu’on pourrait rencontrer à savoir :
-
Cas d’une femme
ayant perdu sa grossesse qui doit normalement continuer par bénéficier du
traitement et qui ne peut être sortie qu’à cette phase précise ;
-
Cas d’une
bénéficiaire décédée où la tutrice devient mère de faux jumeaux si elle était
déjà dans le programme.
Pour
mieux comprendre les différentes gymnastiques à opérer au cours de cette
activité, les participants ont été renvoyés en commission où chaque groupe
devait simuler 3 cas de figures pouvant faire l’objet d’actualisation
notamment :
-
nouvelles entrées
femmes enceintes ;
-
entrée enfant de
0 -24 mois ;
-
entrée enfant
malnutri ;
-
nouveau ménage ;
-
sortie non prévue.
A
la reprise, chaque groupe a présenté en plénière les résultats du travail
effectué suivi des éclaircissements apportés par les uns et les autres ceci
jusqu’à la pause de midi.
Dans
l’après-midi, les participants ont reçu la visite de la coordonnatrice du
ST/PDC+, Madame AGBOKA. Cette rencontre a permis aux uns et aux autres
d’obtenir les réponses franches aux différentes inquiétudes soulevées la
veille. Ainsi concernant le très crucial problème de moto, elle a dit qu’elle
usera de tout son poids pour les mettre à disposition des acteurs dans un délai
raisonnable et que c’était à cause des problèmes liés aux coûts additionnels de
certaines activités nécessaires qu’elle a dues engager (frais liés au corporate
et enquête de l’IRD) et à la lourdeur administrative qui auraient occasionné ce
retard.
Elle
a aussi manifesté son opposition quant au déplacement des femmes lors des
paiements et qu’il revenait à la Poste de se déplacer vers les bénéficiaires.
Pour les états de payement il a été convenu qu’à l’avenir, trois exemplaires
seront établis pour permettre à la Poste d’en laisser une copie au DPAS qui devrait
la remonter jusqu’au DRAS pour enfin être actualisée par les GBD avant d’être
envoyée à la DGPE. Elle a aussi pris les noms des localités dans lesquelles les
photographes ont pris de l’argent et a promis de faire tout pour que ceux qui
ont pris cet argent puissent le rembourser. Elle a exprimé son regret pour le
désagrément occasionné lors de la prise des photos et la distribution des
cartes tout en expliquant que c’était dans le souci d’aller vite. Par ailleurs,
les RZ peuvent préfinancer d’ores et déjà l’activité de paiement à venir, ils
seront remboursés par la suite. Concernant le manque d’énergie électrique à
Dankpen, et du problème de l’inefficacité de la clé USB de l’Oti ainsi que de
l’insuffisance du réseau wifi de la DRAS Savane, elle a promis réfléchir sur
ces différents problèmes afin d’apporter des solutions rapides appropriées.
Bref elle a reconnu que tout n’était pas
parfait mais au fur et à mesure les efforts seront déployés afin
d’amoindrir à l’avenir ces dysfonctionnements observés. Elle a enfin annoncé
que des rencontres trimestrielles de ce genre seront organisées pour mieux
aplanir les éventuelles divergences et élucider les zones d’ombres.
Apres
avoir répondu à plusieurs autres inquiétudes exprimées elle s’est retirée en
laissant les participants continuer les travaux notamment sur la manière dont
on devait se prendre pour effectivement faire l’actualisation. A cet effet,
plusieurs activités doivent se faire en amont à savoir :
-
briefing aux ACPE ;
-
remise des cartes
aux ACPE ;
-
distribution du
matériel de travail aux ACPE ;
-
paiement effectif
des ACPE.
IV)
LA PLANIFICATION DES ACTIVITES DE FORMATION
DES ACPE, L’ACTUALISATION DES LISTES ET LES BUDGETS AFFERENTS.
Afin
de bien planifier les différentes activités préalables devant aboutir à la
tenue effective des activités de causeries éducatives et à l’actualisation,
chaque préfecture devait se retrouver en groupe pour élaborer son planning.
C’est cette activité qui a mis fin aux travaux du jour.
Les travaux du jour 3 ont démarré à 08heures
par les travaux de groupe sur les planifications des activités de
l’actualisation et de recyclage des ACPE de chaque préfecture. Les
présentations en plénière ont révélé qu’à l’exception de Kpendjal qui prévoit démarrer le 22 novembre 2014, les
autres préfectures le débuteront à partir de 24
novembre 2014 pour une durée de 02 jours au maximum. Quant
à l’actualisation, elle débutera à partir du 1er Décembre
2014 pour une durée de 07 jours.
Après cette présentation des propositions de
programmation des activités, les participants ont écouté la lecture du rapport
du jour 2 suivi des apports des participants puis de son adoption.
Abordant les activités de routines (les
visites à domicile) il a été relevé dans les discussions que les ASC n’ont pas
un programme bien déterminé. Il est alors convenu que l’ASC et l’ACPE doivent
travailler ensemble (planifier et animer les causeries éducatives, faire les
visites à domicile). Il a été décidé de coupler l’activité de l’actualisation
avec celle des causeries éducatives ceci
permettra de rester dans les délais
prévus afin d’évaluer les bénéficiaires à
la fin du projet.
En outre, pour une meilleure organisation des
causeries éducatives, et dans le souci d’impliquer les ASC, les DR ont pris
l’engagement d’écrire à leurs collègues de la santé.
La thématique de l’enregistrement des
naissances et des jugements supplétifs a fait l’objet de discussion. Ainsi il a
été recommandé aux RZ de faire la situation des enfants frère et sœur qui n’ont pas d’acte de naissance afin d’être référé au tribunal pour
l’établissement des jugements supplétifs.
Enfin les RZ ont fait la situation des ACPE qui n’ont pas
encore été photographiés et de ceux là qui ne sont pas encore
dans le corporate afin d’être pris en compte pour la suite du processus. Il s’agit de :
-
faire les photos
aux ACPE,
-
activer leur kit
dans le corporate,
-
et les payer en
même temps que les bénéficiaires.
CONCLUSION
Le
DR savane a d’abord remercié les participants pour leurs intérêts proactifs aux
travaux. Ensuite, il les a conviés au respect des planifications soumises par
chaque acteur. Avant de finir, il a insisté sur la nécessité du partage
d’information puis a déclaré clos les travaux.
Tout d'abord, yay! Si vous êtes malade? Vous n'êtes plus dans le noir, et c'est la moitié de la bataille. Deuxièmement, ne vous découragez pas. Même s’il peut être difficile de ne pas se faire avoir par les hauts et les bas (il a fallu passer par toute une catégorie de médicaments, des séances de thérapie physique sans fin, des lancers multiples, des spécialistes différents et prendre un médicament tous les jours pour rester en vie. C’est pour moi que je dois dire que j’ai le VIH / Herpès depuis 2003, année où j’ai été violée, que j’ai trouvé quelque chose en quoi croire que je serai sauvé un jour, c’est difficile de dire quoi que ce soit) et l’épidémie me rappelle comment la maladie. Après avoir eu la chance de rendre visite à mon ami africain à Miami, il m'a parlé du Dr Itua qui réside en Afrique de l'Ouest (Nigéria). Je sais que le pays a beaucoup de choses là-bas, mais je dois juste lui faire confiance et continuer. avec le traitement, heureusement, je le prends pendant deux semaines, comme le Dr Itua me l’a recommandé. Après deux semaines, j’ai passé un test, puis j’ai découvert que j’étais guéri. La phytothérapie n’a aucun effet secondaire et je suis en bonne santé aujourd’hui plus de pilules ni épidémie, je récupère ma vie maintenant, progressivement. Contactez le Dr Itua si vous souffrez des maladies ci-dessous ... VIH / sida, herpès, maladie génitale ou orale, verrue, zona et ampoules, bouton de fièvre, lupus, maladie de Lyme chronique, maladie d'Alzheimer, maladie de Parkinson, hépatite A / B. Diabète, cancer. Informations de contact ... drituaherbalcenter@gmail.com Ou numéro Whatsapp ... + 2348149277967. ...
RépondreSupprimerLa maladie du vih au cours des 3 dernières années et des douleurs difficiles à manger et la toux sont des cauchemars, en particulier la première année. À ce stade, le système immunitaire est sévèrement affaibli et le risque de contracter des infections opportunistes est beaucoup plus grand. Cependant, tous les séropositifs ne développeront pas le sida. Plus tôt vous recevrez un traitement, meilleur sera votre résultat. J'ai commencé à prendre des antirétroviraux pour éviter une mort prématurée, mais je croyais en Dieu qui me guérirait un jour. En tant que brevet pour le VIH, nous vous conseillons de prendre des traitements antirétroviraux pour réduire nos chances de transmission du virus à d'autres personnes, il y a quelques semaines, je suis allé à la recherche sur Internet si je pouvais obtenir des informations sur le traitement du VIH par la phytothérapie. Sur ma recherche, j'ai vu le témoignage d'une personne qui avait été guérie du VIH et qui s'appelait Achima Abelard. et un autre brevet concernant le virus de l’herpès, Tasha Moore, témoignant à propos de ce même homme, appelé le Dr Itua Herbal Center.J'ai été ému par le témoignage et je l'ai contacté par son adresse Email.drituaherbalcenter@gmail.com. Nous avons bavardé et il m'a envoyé une bouteille de la médecine je l'ai bu comme il me l'avait demandé. Après l'avoir bu, il me demande de passer un test pour savoir comment j'ai mis fin à ma vie de brevet d'invention du VIH, je suis guéri et libre d'Arv Pills. Je lui en serai toujours reconnaissant. Drituaherbalcenter .Ici son numéro de contact +234 8149277967 ... Il m'assure qu'il peut guérir la maladie suivante..Virus, Cancer, Virus de l'herpès, Maladie de Lyme, Épilepsie, Cancer de la vessie, Cancer colorectal, Cancer du rein, Cancer du rein, Leucémie, Cancer du poumon, Lymphome non hodgkinien, Peau Cancer, Lupus, Cancer utérin, Cancer de la prostate, Fibromyalgie, SLA, Hépatite, CTPD, Maladie de Parkinson. Maladie génétique, Fibrodysplasie, Fibrodysplasie évolutive, Syndrome de toxicité pour la fluoroquinolone, Syndrome de toxicité du foie / du rein, Inflammation des hommes et des femmes, Maladie , Diabète, fibromes ...
RépondreSupprimer